Alain Soral ou le retour de la bêtise immonde

Alain Soral ou le retour de la bêtise immonde

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Les pratiques et discours imprégnés de la logique d’extrême droite fleurissent de tous côtés.

Comment peut-on mieux comprendre leur fonctionnement et les reconnaître derrière leurs multiples costumes si ce n’est en se penchant sur leur propagateur le plus assumé et le plus odieux : Alain Soral ?

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PRÉFACE

Que Frédéric Balmont me pardonne si l’éditeur que je suis prend la parole en préface de son texte pas tant pour parler de son contenu et de ses vertus que de son sujet et de ce que cela signifie pour moi d’éditer un tel livre.

Et qu’Alain Soral ne me pardonne pas.

Ça me ferait plaisir. Faut-il rappeler ici que le précédent éditeur d’un livre sur cet individu a subi l’attaque d’un de ses disciples, antisémite aussi proclamé que son maître ?

Comme l’information aura, somme toute, été bien peu reprise, StreetPress ne nous en voudra pas de reproduire intégralement la nouvelle telle qu’ils l’ont publiée.

« Sale juif, les goys (sic) redressent la tête. »

Voilà les dernières insultes proférées par Frédéric P., quelques secondes avant de se battre avec Marc Grinsztajn, l’éditeur du livre de StreetPress consacré au facho-business d’Alain Soral.

Résultat : une nuit passée à l’hôpital, des agrafes à l’arrière du crâne et deux jours d’ITT pour notre éditeur. L’agression s’est déroulée dans la nuit du vendredi 11 au samedi 12 septembre. Sur le coup de 2 heures du matin, Marc Grinsztajn arrive devant son domicile après un dîner avec des amis. Alors qu’il compose son digicode, un homme surgit à côté de lui, armé d’une bouteille en verre, et lui lance « Sale bobo, le peuple aura ta peau. »

Marc Grinsztajn entre dans son immeuble, mais l’intimidateur bloque la porte avec le pied et balance, menaçant : « Tu connais Robespierre ? ». Pour éviter de se retrouver coincé dans la cour de sa résidence avec son agresseur, l’éditeur ressort. Les deux hommes sur le trottoir, Frédéric P. profère de nouvelles insultes :

« – Sale juif ! »

« – Quoi ? » répond Marc Grinsztajn.

« – Les goys redressent la tête », rétorque-t-il.

Se sentant menacé, Grinsztajn lui assène un coup de poing puis fait demi-tour.

L’autre lui lance une bouteille en verre, par-derrière, qui lui entaille le crâne, avant d’exploser sur la porte

(...)

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